« Sur un chemin de crépuscule / entre deux rives qui s’entrebâillent / s’invente une marche nocturne et lente / et enivrante / une marche impatiente sur la route / de nuit / que tracent emmêlés l’amour et l’ennui » (« Hinterland »). Sur ce chemin de crépuscule, le public est invité à partager un moment intime fait de mots et de musique.
Ce solo dérive dans la ville, sur les routes. La ville, territoire des rêveries modernes de promeneurs peu solitaires. La ville comme lieu du politique, de la révolte qui bat le pavé, la ville de Spartacus un peu perdu dans Paris. Un paysage citadin qui laisse place peu à peu à des divagations noctambules, des routes à pic, des voies transatlantiques. Au cours de cette traversée, il est question d’amour, de désir, de nuit, de voyage rêvé vers la terre des origines.
Chaque soir un-e invité-e surprise prend part à la dérive, avec sa musique, ses mots, son inspiration.
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« Des invités plus que des spectateurs attendus dans le salon d’Aline » TF1 JT de 20h / « Aline César nous propose un texte de voyage et de rencontre, des mots poétiques qui parlent d'une corniche, on ne sait trop où. A vous de l'imaginer. (…) l'actrice chante aussi. Et c'est peut-être ses plus beaux moments. Assis à deux mètres d'elle, dans son salon, c'est une expérience théâtrale en soi pour les spectateurs qui devront, pour l'apprécier, être des amoureux du verbe et des découvertes. » La Provence.fr / « Une douceur que l’on retrouve dans la voix d’Aline, qui nous raconte une histoire. Des mots qu’elle a écrits pour évoquer la ville, la rêverie, l’amour aussi. (…) De sa voix claire, Aline prend des airs de Serge Gainsbourg ou d’Alex Beaupain, selon votre sensibilité. (…) Avec ses mots, Aline nous embarque. Et on est consentants. » La Provence / « Se rendre à la « dérive » est une expérience unique de par la proximité que le spectateur entretient avec l’interprète tout au long de sa représentation. (…) Certains poèmes sont parlés, d’autre brillamment chantés, mais toujours vécus avec émotion. (…) Se rendre à la dérive est en somme prendre le temps de côtoyer la poésie, d’écouter le bruit du monde, la beauté symphonique d’une artiste envoûtante. » AVI Local City News / « A l’image du bon vin qu’on nous propose en arrivant dans ce petit salon de la place des Carmes, la poésie d’Aline César nous enivre. (…) Son écriture fonctionne comme un road-movie, faisant traverser à celui qui tend l’oreille de bien beaux paysages aux couleurs chatoyantes.» Un fauteuil pour l’orchestre
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